Remerciements à nos électeurs

Au terme du premier tour des élections municipales, Benoit Egron s’adresse à nos électeurs :

« Bonjour à tous,

Ce message sera le dernier de notre site.
Les élections de dimanche montre que les Faleyracaises et Faleyracais souhaitent très clairement continuer dans la gestion actuelle. Le résultat offre une très large victoire à la liste menée par Lionel Solans et soutenue par Mme La Maire Sortante.
Je félicite toute son équipe et leur souhaite beaucoup de courage pour entreprendre l’ambitieux programme qu’ils nous ont présenté durant la campagne…

Au nom de notre liste je souhaite remercier les électeurs qui nous ont accordé leur confiance ( entre 33 % et 29 % suivant les candidats). Nous pensions pouvoir apporter du renouveau à notre commune, mais malheureusement, avec le soutien de notre maire à la liste opposée, cela c’est révélé impossible ( elle m’avait pourtant dit que ce serait bien pour la commune ! ) .

A titre personnel je suis très déçu par l’hypocrisie et la méchanceté de certaines personnes.
Chers habitants de Faleyras, sachez que, lors de mon premier mandat, un adjoint au maire avait démissionné en expliquant ses raisons (mainmise de quelques uns sur toutes les affaires communales).
Aujourd’hui je partage pleinement ce constat.

Malheureusement proposer de mettre en place une gérance participative de notre commune cela dérange.
Je suis quelqu’un d’honnête et franc , je n’hésiterai pas à dire les choses quand le moment se présentera.

De plus je tiens à rassurer certaines personnes sur le fait que je n’ai pas besoin d’être maire pour m’épanouir dans la vie, j’ai suffisamment avec ma famille, mes amis, mon métier de pompier que j’aime et ma passion de la vigne.
Je me suis présenté uniquement par conviction et non pas par prétention. Je resterai toujours simple avec mes valeurs et je continuerai d’apporter ce que je peux autour de moi. Aujourd’hui, face ce virus, j’aide du mieux que je peux grâce à mon métier.

Avant de conclure sachez que nous n’avons aucune amertume de cette campagne qui nous a permis de constituer une équipe extraordinaire, unie, posée et surtout d’élaborer avec un vrai projet participatif pour le bien de tous.

Je souhaite bonne chance à la liste de Mr Solans dans la mise en place de son programme afin que chaque Faleyracais soit fier d’habiter notre jolie village.

Bon courage à tous aussi dans ce moment si particulier.
Notre équipe a une pensée toute particulière pour Laititia Chassac, et sa famille, suite au décès de sa maman.

Benoît Egron« 

Les masques sont tombés

Au terme de plusieurs semaines de campagne électorale, et d‘une réunion publique fortement perturbée, nous pouvons établir le constat suivant

Ils ne l’ont pas fait

Nous le ferons

TRANSPARENCE

Absence d’information sur les affaires municipales (exemple : achat d’un terrain appartenant à un conseiller municipal sans mention du prix).

Conseil municipal à huit clos.

Information régulière via internet et le journal municipal.

Ordre du jour et dossiers soumis au conseil municipal mis en ligne sur le site de la commune pour permettre aux habitants d’assister aux réunions qui les intéressent.

CONCERTATION

Décisions prises en petit comité sans prendre en compte les attentes des habitants (exemple : installation d’un panneau lumineux à 12 000€).

Associer les habitants au choix des priorités avec, notamment, un budget participatif pour définir les investissements à réaliser.

Création de commissions mixtes composées d’élus et d’habitants.

ACTEUR DE NOTRE AVENIR COLLECTIF

Absence d’implication dans les structures intercommunales.

Aucun projet porté pour obtenir des subventions de l’Europe et des autres partenaires publics.

Participer activement à la dynamique intercommunale pour préparer les transitions auxquelles nous aurons à faire face.

Aider les porteurs de projet à monter des dossiers de financement.

RESPECT

Mépris des règles élémentaires de politesse vis à vis des habitants et de la liste adverse lors de la réunion publique du 11 mars 2020.

Être à l’écoute de tous les habitants, y compris les nouveaux arrivants.

Accepter le débat avec les contradicteurs.

 En conclusion, dimanche 15 mars 2020,

faites le bon choix : Benoît EGRON

 

Merci

Merci à toutes et tous qui ont assisté à notre réunion publique. Désolé pour le spectacle affligeant imposé par l’équipe sortante.
Nous leur avions proposé de faire une réunion commune pour que le débat éclaire les choix des électeurs. Ils ont refusé.

Au début de la réunion publique ils sont arrivés groupés, souvent sans nous saluer. Nous leur avons alors proposé de nous rejoindre pour participer à la réunion publique. Ils ont refusé.

Très vite tout le monde a compris qu’ils étaient venus pour casser et pourrir la réunion en abaissant systématiquement le niveau des échanges. Les agressions gratuites et répétées contre Benoit Egron ont empêché d’aborder sérieusement les questions sérieuses.

La preuve est faite qu’ils sont incapables de défendre un bilan totalement creux et encore moins capables de faire des propositions pour l’avenir de Faleyras.

Et pour conclure la soirée, l’équipe sortante a quitté la salle sans la moindre salutation alors que nous les avions conviés à prendre le verre de « l’amitié ».

Les électeurs apprécieront l’élégance d’une telle attitude.

Réunion publique

     Madame, Monsieur,


Nous avons le plaisir de vous inviter à venir nous rencontrer

REUNION PUBLIQUE

Mercredi 11 Mars à 19 heures

Salle municipale de Faleyras

Venez échanger, débattre ou simplement faire notre connaissance

« Tous les habitants de Faleyras ont la parole »

 PS : Nous avons proposé à la liste de l’équipe municipale sortante de faire une réunion publique commune pour une bonne information des électeurs et un débat ouvert, riche et constructif.
Cette proposition a été rejetée par l’autre liste.
Nous le regrettons parce que cela ne correspond pas à notre conception de la démocratie.

Vous avez dit écologie ?

Chaque candidat aux municipales y va de son pinceau écoresponsable, suivant une stratégie culinaire éprouvée : « la fibre environnementale, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale.« (dixit reporterre.net)

Le constat

il s’agit de préparer la résilience des territoires face aux conséquences du changement climatique. De nombreuses communes de l’Entre-deux-Mers se sont engagées dans l’élaboration d’un projet alimentaire territorial et ont répondu à l’appel à initiatives lancé en 2019. Et les premiers projets ont été lancés.
Vous n’en avez pas entendu parler, notamment dans le journal municipal ou sur le site internet de Faleyras ? Normal, l’équipe municipale ne s’est pas engagée dans la démarche.

Dans le même temps, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a publié un guide, Intitulé « Demain mon territoire », à destination des communes et des candidats pour les aider à verdir leur programme. Il propose des solutions en matière de gouvernance (organisation dédiée à la transition écologique, mobilisation des habitants…) à la sensibilisation des jeunes, en passant par l’alimentation, la production d’énergie, la nature en ville, la mobilité, la gestion des déchets, la qualité de l’air.
Vous n’en avez pas entendu parler, notamment dans le journal municipal ou sur le site internet de Faleyras ? Normal, l’équipe municipale ne s’est pas engagée dans la démarche.

En complément, un Pacte pour la Transition a été porté à partir de mai 2019 par des groupes de citoyen·ne·s afin d’engager les candidat·e·s puis élu·e·s à mettre en œuvre tout ou partie des mesures. Il pourra aussi servir d’outil pour entrer en dialogue avec les équipes municipales après les élections. Les citoyen.e.s seront amené.e.s à suivre et accompagner la progression des engagements pris par les élu.e.s tout au long des mandats.
Vous n’en avez pas entendu parler, notamment dans le journal municipal ou sur le site internet de Faleyras ? Normal, l’équipe municipale ne s’est pas engagée dans la démarche.

Notre programme

Afin de ne pas parler d’écologie seulement au moment des élections, nous jouerons la transparence, en renforçant la communication sur les travaux du conseil municipal en matière de développement durable, les choix envisagés, les résultats obtenus.

La transparence commencera par la gouvernance. L’ordre du jour du conseil municipal sera mis en ligne avant chaque réunion afin de permettre aux habitants d’assister aux réunions qui les intéressent. Chaque sujet évoqué fera l’objet d’une fiche disponible sur le site de la commune.

On mettra à profit l’expertise des citoyens pour développer des projets ancrés dans la réalité, grâce à la consultation et à la concertation. Le budget participatif donnera aux habitants voix au chapitre sur l’affectation d’une part des deniers communaux.

Pour que Faleyras soit acteur de son avenir tout en préservant son passé, nous voulons :

Penser l’urbanisme comme un tout : conserver notre habitat et notre cadre de vie privilégié avec ses bâtiments historiques et ses paysages naturels tout en les entretenant.

Inciter au développement d’un habitat durable en aménageant au naturel dans une perspective paysagère et patrimoniale, et en encourageant la rénovation de l’habitat traditionnel.

Favoriser les bons réflexes environnementaux et la transition énergétique. En particulier, nous nous associerons à l’initiative du Semoctom pour la valorisation et le recyclage des déchets verts.

Engager un processus de construction collective de l’action communale, en associant élu·es, citoyen·nes, agent·es et représentant·es des acteurs locaux, notamment pour la mise en œuvre et le suivi des engagements que nous prendrons parmi les 32 mesures du Pacte pour la Transition.

Participer activement à la dynamique intercommunale sur l’identité de l’Entre Deux Mers, et notamment à la mise en oeuvre du projet alimentaire territorial et des actions du projet « Ambition 2030 », pour que l’avenir de notre territoire ne ressemble pas à ce que nous craignons mais plutôt à ce que nous souhaitons.

 

 

Corinne

Onzième visage, une consultante soucieuse de notre santé
Sa présentation

« Chers Faleyracaise, cher Faleyracais
je m’appelle Corinne Faivre
J’ai 47 ans, je suis mariée
J’ai deux enfants et je suis arrivée dans ce merveilleux village en 2015.
Je suis consultante en ergonomie. J’améliore les conditions de travail des salariés. Je revois les organisations du travail et les stratégies des entreprises pour préserver la santé et la sécurité des hommes et des femmes.
Je suis engagée sur la santé au travail (exposition aux pesticides, souffrance au travail, usure professionnelle), je suis membre du conseil d’administration d’une association appelé Ethna -Etabli du travail humain en Nouvelle Aquitaine-.
Nous réalisons des saynètes sur l’exposition aux pesticides, et autres maladies professionnelles pour sensibiliser et partager notre expérience
avec les citoyens.

J’ai rejoint l’équipe conduite par Benoit Egron pour son engagement humain, pour sa volonté de créer une équipe de proximité au service des citoyens de la commune.
Notre projet est de mettre en place des espaces d’échange citoyens pour recréer du collectif et dynamiser notre village. »

Amnésie et langue de bois

Pendant l’hiver, il est fréquent que des nids de poule (trous dans la chaussée) se forment. Mais il est fréquent que les réparations se fassent attendre et qu’entre temps, le nid de poule soit à l’origine d’un accident En cas d’accident grave, l’état de la chaussée peut être invoqué et mettre en cause la responsabilité des élus.
Les dépenses d’entretien de voirie sont des dépenses obligatoires pour la commune (article L. 2321-2 du code général des collectivités territoriales). Dès lors, la jurisprudence considère que la victime d’un accident sur la voie publique n’a pas à prouver la faute de la commune. L’accident laisse, à lui seul, présumer la responsabilité de la commune. Il appartient donc à la commune de prouver qu’elle a bien entretenu l’ouvrage.
Pour cela, elle doit montrer les documents ordonnant la mise en sécurisation, et la présence des panneaux de signalisation indiquant « Trous en formation ».

Le constat

L’état de la voirie et son entretien a été à l’origine d’une scission à l’intérieur de l’équipe municipale sortante.
En 2016, à la sortie de l’hiver, Benoit Egron écrivait : » je pense que les travaux sont obligatoires à la vue de l’état de nos petites routes…’il faudrait rappeler aux employés qu’il n’y a pas que le bourg à entretenir« . Et il constatait quelques mois plus tard : »comme j’ai déjà dit à la dernière réunion, le résultat des travaux effectués cette année n’est vraiment pas satisfaisant. Je m’explique effectivement le revêtement est réalisé mais les bosses sont toujours présentes et à mon avis on recommence dans 2 ans car les trous vont réapparaître.  »
Un autre conseiller municipal abondait : »Je mets mon grain de sel car je pense que Benoit n’a pas tort
le résultat ne me semble pas très bon ni durable par rapport aux sommes engagées…fine couche de bitume et beaucoup de gravillons
mais effectivement les déformations restent déformées.
J’en profite pour parler de l’ordre prioritaire des voiries.Le Biac devient très habité et la route surempruntée…son état laisse à désirer « .

Aujourd’hui, un rapide examen de notre réseau routier permet de confirmer les craintes exprimées en 2016.

Notre programme

La sécurité des personnes est pour nous une priorité. Notre action consistera à :

  • Identifier rapidement toutes les dégradations en formation, notamment grâce à un système d’alerte par SMS permettant à chaque habitant de signaler les anomalies.
  • Intervenir préventivement dès qu’un trou de 2 cm ou plus apparaît. En effet, les juges considèrent que la présence d’un dénivelé de 5 cm sur une voie qui cause plusieurs chutes constitue un défaut d’entretien anormal (CAA Paris, 3/12/1996, société Via France). Pour se défendre dans tous ces contentieux, la commune doit prouver qu’elle n’a pas commis de faute : il faut que la voie publique soit normalement éclairée et que ses défectuosités n’excèdent pas celles auxquelles les usagers doivent normalement s’attendre. Ainsi, il n’y a pas de défaut d’entretien normal pour des excavations inférieures à 2 cm ou pour un nid de poule de moins de 4 cm (CAA Bordeaux, 18/12/2001, Fernandez). Une intervention, même provisoire, assure une meilleur sécurité et élimine le risque juridique pour la commune.
  • Signaler le risque de formation de trous par des panneaux  afin d’inviter à la prudence les usagers de la voirie. Lorsqu’aucun panneau ne permet d’avertir l’usager de la présence importante de gravillons sur la chaussée ou de l’absence d’enrobé sur une partie de la voie, le défaut de signalisation peut être reproché à la commune.
  • Exercer si nécessaire des recours contre les tiers responsables. Les contribuables ne doivent pas assumer seuls les dégradations causées par un usage anormal de la voirie. Si les dommages sont provoqués par des tiers qui ne respectent pas les règles d’utilisation de la voie publique, la commune peut se retourner contre des personnes qu’elle estime responsables.
  • Exiger une réfection de la voirie durable de la part de la communauté de communes.

En conclusion, « Défendre nos intérêts auprès de la Communauté de communes pour l’entretien de la voirie » il ne suffit pas de le dire, il faut le faire !

 

 

Le lièvre de la dette

Dans l’article du journal le Républicain, présentant notre liste, nous avions été évoqué le « bond de l’endettement » lors du passage dans la communauté de communes rurales de l’Entre deux Mers : la dette par habitant est passée de 250 € à 400€ sans que Faleyras ne perçoive un rebond de l’investissement à hauteur de la forte augmentation de l’endettement. Et nous voulions comprendre pourquoi l’équipe municipale sortante s’était bien gardée d’informer les habitants de Faleyras.

Cet article a  provoqué une réaction courroucée du Président de communauté de communes (également Maire de Sauveterre) . Ce dernier a adressé une lettre aux 50 maires de la communauté et aux journaux Le Républicain et Sud-Ouest pour tenter de démontrer qu’il n’y avait aucune dette héritée de la communauté de communes du canton de Sauveterre et aucun bond de l’endettement.

Sa réponse permet de comprendre l’origine du problème : la communauté de communes de Sauveterre a contracté en 2016 un emprunt de 3,7 millions d’euros (au taux de 1,46 % sur 20 ans) pour financer la mise en place de la fibre optique.

Dès lors, la nouvelle communauté de communes rurales de l’Entre deux Mers ( à laquelle Faleyras appartient depuis 2017) a hérité des dettes suivantes :
– la dette en cours de la communauté de communes de Targon de 1,75 million d’euros
– la dette en cours de la communauté de communes de Sauveterre de 1,39 million d’euros
– le nouvel emprunt de la communauté de communes de Sauveterre de 3,7 millions d’euros
Ainsi s’explique le bond de l’endettement lors du passage à la communauté de communes rurales de l’Entre deux Mers. Le compte est bon : cela fait 5,09 millions d’euros imputables à la communauté de communes de Sauveterre, soit 74% de l’endettement dont nous avons maintenant la charge.
Dommage que l’équipe municipale de Faleyras ait oublié de nous informer !

La bonne nouvelle est que, comme l’indique le Président de la communauté de communes, la baisse des prix pour l’installation de la fibre optique abaisse le besoin de financement à 1 million d’euros et que pour ce montant toutes les communes de la communauté pourront être desservies.

Faut-il en déduire que c’est la fin de la galère de l’internet pour tous les habitants de Faleyras ? Nous savons maintenant que l’argent est là (depuis déjà 3 ans ) et qu’il n’y a plus d’excuse pour attendre encore et toujours l’arrivée de la fibre optique à Faleyras. Reste à la nouvelle équipe municipale qui sortira des urnes le 15 mars de s’en assurer.

 

Bruce

Dixième visage, les nouvelles technologies n’ont pas de secret pour lui

Sa présentation :

Je m’appelle Bruce Capdeville.

Agé de 41 ans je travaille dans le développement de logiciels pour le milieu hospitalier.

Je suis né à Bergerac et j’ai grandi dans le Périgord.

Habitant Faleyras depuis 2011 avec ma femme et mon fils de 11 ans, nous y avons trouvé l’environnement que nous recherchions, à savoir nature, rythme de vie raisonné et des liens humains entre les habitants de la commune.

Je partage avec le reste de l’équipe un attachement pour notre commune et la qualité de vie que nous y avons.
Je pense néanmoins qu’il est certainement possible d’insuffler une nouvelle énergie dans la vie de notre commune, plus de liant entre les habitants de tout âge, tout en prenant soin de conserver le caractère rural de notre environnement.

J’attache beaucoup d’importance à la franchise et au dialogue.

Myriam

Neuvième visage, Myriam défend la qualité de vie

son portrait :

Je m’appelle Myriam Gevers. J’ai 58 ans, mariée et maman de 3 grands enfants. Je suis originaire du Nord, arrivée en Gironde depuis 20 ans par amour pour la région, à Faleyras depuis 6 ans et tombée sous le charme du lieu et de ses habitants. Mes passions s’imprègnent de mon environnement : randonnée à cheval, course à pieds avec mon chien et peinture avec pour modèle la nature.
Avec mon époux, nous rénovons un moulin du 14ème siècle et son petit patrimoine (pigeonnier, ouvrage hydraulique etc.). S’investir dans un tel projet c’est partir à la rencontre des lieux oubliés, renouer avec la nature et l’architecture locale. C’est la rénovation et l’intérêt pour ce bâtiment qui a été la porte d’entrée pour m’engager sur ce territoire, la prise de conscience d’une vraie qualité de vie et la volonté de vouloir la préserver et la valoriser.

Mon intérêt pour la commune est le même, garder son authenticité tout en allant vers demain, être présents dans les décisions pour l’avenir de notre commune pour ne pas subir les événements mais y participer.

« Ce sont les optimistes qui font avancer ! [ …] » – Pierre Rabhi